Il  y a cinq ans, la France clamait fort et clair : « Je suis Charlie ». Aujourd’hui, entre pression économique, politiquement correct et pressions sur les réseaux sociaux, les dessinateurs de presse semblent avoir perdu de leur superbe. Et si on connaît souvent leur trait, leur humour ou leur engagement, il est rare qu’on leur donne la parole. Quatorze d’entre eux — aux profils bien différents — ont accepté de témoigner. État des lieux d’un travail pas comme les autres.

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