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Fig. 3, Extrait de l’Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Caricature non identifiée », aquarelle sur papier parcheminé, [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh. 619 rés. n°101(1)) – (cliché BMG).

LE «CAHIER DES CHARGES » DE VICTOR SAPPEY [vers 1832-1845] : exemple ou exception dans la caricature du XIXe siècle ?

 

Par Candice HUMBERT, Université Pierre Mendès France – Grenoble.

Connu de ses compatriotes grenoblois pour avoir orné la ville et ses alentours de nombreuses  sculptures et monuments funéraires (1), Victor Sappey (11 février 1801- 23 mars 1856) est considéré en son temps comme un « artiste de valeur ». Formé auprès de grands maîtres pendant un séjour à Paris de 1824 à 1831, le jeune homme taille la pierre avec talent et obtient rapidement les mérites d’un bon statuaire.  Son don pour la sculpture et son allure charpentée lui valent le respect et la sympathie de ses concitoyens qui se félicitent, entre autres, de sa participation au Salon de 1831 « auquel les Dauphinois fidèles à leur province n’étaient admis que de manière bien épisodique » (2). On lui doit également, au cours de cette même année, la création de l’Ecole de sculpture architecturale de Grenoble dont il est le directeur jusqu’à sa mort.
Toutefois, parallèlement à la sculpture, Sappey cultive une autre activité, discrète et originale : la caricature. Dans son Dictionnaire des termes artistiques (3), Baldinucci la définit comme «une méthode consistant à faire un portrait le plus ressemblant possible, mais aussi à accentuer exagérément les défauts des traits qu’il copie. Ainsi, le portrait dans son ensemble, est conforme au modèle alors que les traits qui le composent sont modifiés ». D’après les historiens, la caricature naît à la Renaissance dans le cercle des Carrache (4) et demeure une pratique d’atelier jusqu’en 1830 environ, date à laquelle les nouvelles techniques d’impression permettent sa large diffusion. Au cours de sa carrière, Sappey possède au moins deux ateliers, cour Lacoste et rue du Chemin Neuf à Grenoble.  Lieu de création associé à son travail, l’atelier du sculpteur était « à l’époque romantique, une sorte de salon littéraire »  comme le souligne sa fille Louise Sappey. C’est dans ces conditions que les artistes qui fréquentaient l’atelier se portraituraient entre eux. Bien que Diderot dans son Encyclopédie, la considère comme « une espèce de libertinage d’imagination qu’il ne faut se permettre que par délassement » (5), la caricature reste le divertissement favori du sculpteur grenoblois qui rassemble autour de lui des personnalités de milieux différents.  Le recueil de portraits ayant appartenu à Sappey (6) est offert vers 1936 par sa fille à la Bibliothèque municipale de Grenoble. Il regroupe « les charges de tous les amis du sculpteurs » (7) et demeure aujourd’hui l’unique trace de ces cénacles artistiques et littéraires.


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Fig. 1, Extrait de l'Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Invitation au Pâté Monstre », lithographie, 1832, Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh. 619 rés. n°1) - (cliché BMG).


Recueil factice, l’album de Sappey est un manuscrit du XIXè siècle in-folio, de 394x280 mm, probablement relié par ses descendants. Il est composé de cent-vingts pages sur lesquelles on peut voir des portraits et portraits-charges identifiés et non identifiés, quelques paysages et des scènes diverses (8). Réalisés à des dates inconnues, ces dessins auraient été exécutés vers 1832 (selon l’indication retrouvée sur un portrait représentant Théodore Fantin) et auraient été achevés après 1845 (date de l’invitation au « Pâté-monstre », fig.1).
             
Concernant le support, il s’agit de feuilles de papier de couleurs ocre, jaune, blanc, bleu, issues de carnets distincts. Malgré la certitude que cet album ait appartenu à Sappey, la différence de style entre les dessins associés à la diversité des techniques employées (mine de plomb, encre, fusain, craie, aquarelle) nous laisse douter de la participation d’un seul auteur.
En effet, ce recueil pourrait être l’œuvre de plusieurs invités, qui, visitant l’atelier du sculpteur, laissent en signe de leur passage le portrait ou la charge d’un des convives.
En comparant le recueil de Sappey à la production contemporaine, notamment avec les œuvres de Dantan (1800-1869) et Daumier (1808-1879), nous analyserons ses sujets et leurs traitements. Puis nous tenterons d’expliquer en quoi cet album, appelé aussi « Cahier des charges » (9), présente toutes les caractéristiques d’un album amicorum.

 Le  « Cahier des charges »  de Victor Sappey, une production ‘‘à l’image’’ de ses contemporains.
Philippe Sorel, qui a étudié les oeuvres du sculpteur Dantan (1800-1869) dans le catalogue Dantan jeune, Caricatures et portraits de la société romantique, insiste sur le fait que « Dantan n’a chargé que des individus » (10), c’est à dire qu’il n’a croqué aucune personnalité du monde politique à des fins polémiques mais simplement parce qu’elles étaient amies ou populaires (11).


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Fig. 2, Extrait de l’Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Alexandre Michal-Ladichère », mine de plomb, fusain et craie blanche sur papier parcheminé, [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh. 619 rés. n°71) – (cliché BMG).


Bien qu’il n’ait pas eu la volonté de créer des « types sociaux ou politiques » lors de l’exécution de ses bustes-charges, nous pouvons aujourd’hui procéder au classement des sujets de Dantan. Il en est de même pour l’album de Sappey dans lequel on note la présence de peintres comme Jean Achard, Alexandre Debelle, Victor Cassien, Ernest Meissonnier ; de musiciens comme Henri Bertini (pianiste), Perrard (joueur de basson), Rippa (organiste) ou encore d’avocats comme Michal-Ladichère (cf. fig. 2) et Pyot. Enfin, les petites gens et les concitoyens en général ne manquent pas d’être ridiculisés dans cet album. 
              
Pour ce qui est du traitement des sujets, Dantan « ne représente et caricature les corps-mêmes des personnes que dans la mesure où ils présentent une particularité frappante ou connue du public : une longueur ou un embonpoint remarquables sont les cas les plus fréquents, mais les recherches vestimentaires, les attitudes habituelles et les tics des individus attirent aussi l’attention du sculpteur […]. Les visages sont à peine déformés et le comique réside le plus fréquemment dans le traitement des autres éléments » (12). Il suffit de regarder la caricature de Liszt pour comprendre comment il réussit à suggérer l’identité de son personnage en montrant simplement sa longue chevelure, de dos, devant son piano.


Ces principes s’appliquent également au « Cahier des charges » de Sappey car les individus dessinés sont souvent mis en scène dans un environnement qui leur est familier ou sont accompagnés d’un accessoire qui les caractérise. De cette façon, Gavin, Beylié et Blanc fument leur pipe tandis que le barbier se promène avec un gigantesque rasoir sous le bras (fig. 3, en haut d'article).

Mais pour élaborer ces charges originales, Dantan fait appel à la tradition caricaturale en utilisant la physiognomonie - pseudo-science, très en vogue dans la première moitié du XIXè siècle - qui proposait de connaître les hommes par l’étude de la conformation de leur corps et de leur visage. Cependant, P. Sorel insiste sur le fait que le sculpteur y ait eu recours pour créer des associations, des jeux de mots.


                           
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Fig. 4, Extrait de l’Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Bandet – limonadier », encre sur papier parcheminé, [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh. 619 rés. n°96) – (cliché BMG).
                              

Il est donc probable que la caricature de Bandet, dans le « Cahier des charges » de Sappey, soit inspirée de ce genre de représentations. En effet, le limonadier croqué de profil jaillit de sa carafe sous laquelle on lit : « Moi conquérant de belles – Je suis limonadier – C’est Bandet qu’on m’appelle – Je fournis l’atelier » (fig. 4). Notons qu’à cette période, les artistes affectionnent particulièrement ce genre de calembours visuels et verbaux qui s’avèrent parfois être très fantaisistes. Dans le même esprit, Dantan choisit de représenter Carle Vernet, le célèbre peintre de chevaux, en croisant les traits de son visage avec le profil d’un équidé.

Il est donc exact de dire que « les dessinateurs savent inventer les signes nécessaires à leur discours » (13) selon les termes d’Annie Duprat.  Aussi, «  pour donner plus de force à la charge, pour empoigner le spectateur par tous les comiques, on avait eu soin de martyriser leur nom au moyen de calembours et de jeux de mots » (14). C’est en cela que le « Cahier des charges » de Sappey, exécuté entre 1832 et 1845, se rapproche des œuvres d’Honoré Daumier (1808-1879), «le Michel-Ange de la caricature » comme le surnommait John Grand-Carteret.
Dès lors, on s’interroge sur le fait que le sculpteur grenoblois, durant son séjour dans la capitale, ait pu observer les lithographies de Daumier (15), parues notamment dans La Caricature. Ces dernières étaient légendées par l’un des dirigeants du journal, Charles Philipon, afin de les rendre plus compréhensibles.  
           


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Fig. 5, Extrait de l’Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Horace Mollard », mine de plomb sur papier parcheminé, [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh.619 rés. n° 76) – (cliché BMG).


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Fig. 6, Extrait de l’Album de portraits ayant appartenu à Victor Sappey, « Nicolet dit Golo », fusain et craie blanche sur papier parcheminé, [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble (Vh. 619 rés. n°62) – (cliché BMG).


L’album de Sappey répond à ces mêmes critères et fait usage du texte sur plusieurs caricatures. Horace Mollard par exemple, porte sous son bras l’enseigne de son atelier sur laquelle est écrit « Atelier de Horace Mollard peintre » (fig. 5), Fournier est surnommé « cocotte » et Nicolet dit « Golo » (fig. 6). Mais ce n’est sans doute pas par hasard qu’il utilise ce mode d’expression puisqu’en 1831,  Dantan exposait au Salon les bustes de nombreuses personnalités dont certaines étaient déjà désignées par des surnoms et des rébus.
On peut donc dire que les caricaturistes de la première moitié du XIXè siècle, qu’ils soient peintres, sculpteurs ou dessinateurs, s’inspirent abondamment, voire exclusivement de leurs contemporains. Autrefois anonyme, le modèle est désormais choisi parmi les personnalités qui entourent l’artiste. De plus, ce dernier n’hésite pas à observer les travaux d’autres caricaturistes pour élaborer son propre style.


Un album amicorum ?
Tiré du mot latin albus signifiant «blanc», l’album amicorum est un livre blanc relié, signé par les personnalités que l’on visitait. Plus tard, il devient par extension, un cahier contenant de nombreuses illustrations comme celui qui a été constitué après la mort du sculpteur Sappey. Malgré le fait qu’un très petit nombre soit connu de nos jours, ce genre d’album semble avoir été assez répandu au XVIIIe siècle et dans la première moitié du XIXe siècle, si l’on croit les recueils encore conservés.
Grâce au développement de la presse et aux nouvelles techniques de reproduction, la caricature est en plein essor. Les salons artistiques et littéraires se multiplient et deviennent de véritables lieux de rencontres. Paris, qui recense alors des centaines d’artistes parisiens, provinciaux et étrangers, est animée de cercles libéraux qui rassemblent les grandes figures de l’époque.  C’est d’ailleurs dans l’un d’entre eux que les premières charges de Dantan (Ducornet et Bouginier) ont été modelées, dans « le cercle même de Cicéri […] ». Car Dantan est héritier des milieux où, […] artistes, plasticiens, musiciens, amateurs d’art et gens de belles lettres se caricaturaient mutuellement » (16). Il faut dire que Cicéri (1782-1868), qui était à la fois peintre du Roi et décorateur de l’Opéra, fréquentait le « tout-Paris » et recevait ses amis et collègues dans son atelier. Quelques années avant Sappey (vers 1820), il constitue lui aussi un « Cahier des charges » (17)  sur lequel figurent ses invités ; cet album amicorum n’est toujours pas localisé (18).  Il est donc possible que durant son séjour dans la capitale Sappey ait été en contact avec Cicéri ou d’autres artistes passionnés de caricature et que ces rencontres l’aient inspiré dans la réalisation de son recueil.

A  l’image de nombreux artistes dauphinois ayant fait leur apprentissage auprès d’un maître parisien (Hébert, Rahoult, Blanc-Fontaine, Debelle, Faure), Sappey rentre à Grenoble en 1831 avec les qualifications nécessaires à son travail de statuaire mais aussi avec cet enthousiasme pour la caricature. Et bien qu’il soit très en vogue dans la capitale, le portrait-charge l’est également en province. Citons le cas de Stéphanie de Virieu (1785-1873), peintre, sculpteur et éducatrice, qui avait suivi la formation parisienne de Delavoipierre, élève de David, de 1795 à 1800, et qui « aimait aussi [à] ‘croquer’ les hôtes d’un salon » (19). En compagnie de Madame Chabons, elle rassemblait dans un vieil hôtel grenoblois, « un groupe d’élite où circulait une forte sève intellectuelle » (20). Curieuse infatigable, Stéphanie de Virieu a souvent voyagé. Elle aurait côtoyé de nombreux artistes dont Adam Töppfer (1766-1847) et son fils Rodolphe (1799-1846), célèbres caricaturistes. On attribue d’ailleurs à Rodolphe Töppfer un lavis signé R.T., représentant trois soldats dans un album de dessins ayant appartenu à la jeune femme. Mais Stéphanie de Virieu était aussi très proche de Sappey avec qui elle entretient une correspondance pendant quelques années. Dans son atelier, le statuaire réunit ses proches : « Achard, Fantin-Latour, Mademoiselle de Virieu et de nombreuses personnalités comme la famille Saint-Ferréol ». Ajoutons qu’un grand nombre des amis de Sappey figurent parmi les portraits réalisés par Stéphanie de Virieu. Par conséquent, nous pensons que ces deux artistes dauphinois ont partagé leur goût pour la caricature et se sont sans doute retrouvés dans les mêmes salons, où chacun immortalisait son voisin en fixant ses traits sur la page blanche d’un album. 
L’usage de la charge est déjà très répandu en province au début du XIXè siècle et l’album amicorum, qui était avant tout une distraction artistique, répond finalement à la tradition caricaturale.


La carrière de Sappey a donc été fortement marquée par son séjour parisien, qui l’a révélé en tant que sculpteur mais qui a aussi dévoilé son penchant pour la caricature. Probablement en relation avec d’autres artistes de la capitale, le statuaire a dû participer et s’inspirer de ces cénacles artistiques et littéraires dans lesquels on s’attardait sur les défauts de ses compatriotes. C’est pourquoi, dès 1832, en compagnie de ses amis, également dessinateurs habiles, Sappey croque les personnages marquants et anonymes de la société grenobloise en combinant la réalité physique et morale du sujet ou en utilisant des jeux de mots, tel qu’a pu le faire Dantan. Pour ces multiples raisons, ce recueil présente à la fois un intérêt historique et artistique, car outre la liste de ses concitoyens, l’album amicorum de Sappey nous donne une idée des différents types sociaux de l’époque, de leur condition mais aussi de la qualité de la production graphique. Enfin, notons que le « Cahier de charges » de Sappey, comme celui de Cicéri, ne sont pas des cas isolés dans la production caricaturale du XIXe siècle car nombreux sont ceux qui ont conservé ces portraits « crayonnés » dans leur atelier pour en faire un recueil.


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Notes
1/ C. Dumontier-Tissot, Catalogue des sculptures du XIXè siècle du Musée de peintures et de sculptures de Grenoble, Mémoire de l’Ecole du Louvre, 1980, Musée de Grenoble.
2/ J.G. Daigle, La Culture en partage, Grenoble et son élite au milieu du XIXè siècle, Grenoble, P.U.G., 1977, p. 83.
3/ F. Baldinucci, Dictionnaire des termes artistiques, Florence, Santi Franchi, 1681.
4/ Champfleury, Histoire de la caricature moderne, Paris, Dentu, 2è éd., 1886.
5/ Diderot et d’Alembert, L’Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, 1772.
6/ P.V. Sappey, [Album de portraits ayant appartenu au sculpteur], [XIXè siècle], Bibliothèque municipale de Grenoble, Vh. 619 réserve.
7/ P. Guillemin, Les Dauphinois dans la charge et la caricature, Grenoble, Falque et Perrin, 1897, pp. 22-23.
8/ C. Humbert,  Le « Cahier des charges » de Victor Sappey [vers 1832-1845], sous la direction de Marianne Clerc, mémoire de Master 2, Grenoble, Université Pierre Mendès France, 2006.
9/ « Pierre Victor Sappey, statuaire dauphinois, 1801-1856 », Causerie faite le 22 juillet 1936 au poste d’Etat de la Radiodiffusion des Alpes par Woltz, Musée de Grenoble, p. 4.
10/ Dantan jeune, Caricatures et portraits de la société romantique, Coll. du Musée Carnavalet, Maison de Balzac, Paris, 1989, p. 64. 
11/ Toutefois, rappelons qu’un des chapitres de cet ouvrage intitulé « les célébrités de l’époque romantique, caricatures et portraits par Dantan », expose des dizaines de portraits-charges « groupés en grandes catégories ». Autrement dit Beethoven et Berlioz figurent dans la liste des « musiciens », Rosa Bonheur et Paul Delaroche dans celle des « arts » et Honoré de Balzac et Victor Hugo dans celle des « Lettres », pour ne citer qu’eux.
12/  Dantan jeune, caricatures et portraits, op.cit.,  pp. 68-69.
13/ A. Duprat et P. Dupuy, « La Caricature entre subversion et réaction »  Cahiers d’Histoire, in revue d’Histoire critique, n° 75, Paris, Cahiers d’Histoire, 1999, introduction. 
14/ J. Grand-Carteret, Les Moeurs et la caricature en France, Paris, Librairie illustrée, 1888, p. 211.
15/ Daumier 1808-1879, exposition aux Galeries du Grand Palais, Paris, 5 octobre 1999-3 janvier 2000.
16/ Dantan jeune, op. cit., p. 64.
17/ L. Baridon et M. Guédron, L’art et l’Histoire de la caricature, Paris, Citadelles et Mazenod, 2006.
18/ L. Baridon, «
Jean-Pierre Dantan, le caricaturiste de la statuomanie », Ridiculosa, n°13 – Sculptures et caricatures, Brest, UBO, 2006, pp. 127-143.
19/ A. Leflaive, Stéphanie de Virieu, Grenoble, Lettres de France, 2002, réimpr. de l’éd. de Paris, 1947, p. 271.
20/ N. Du Boÿs, Souvenirs de la Combe, Paris, Téqui, 1912, p. 54.

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